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Doudou au Pérou

Bolivia, round 2 : Uyuni, le bloqueo et les tacos

Buenas noches!

Je m'y remets, un peu tard mais c'est pour maintenir le suspens (et étudier mes examens, accessoirement).

Doooonc, où en étais-je? Ah, La Paz. Donc, après une bonne nuit et une bonne journée, nous avons pris un bus de nuit direction Uyuni, but ultime de ce périple. 12 heures, me semble-t-il ? De nuit et sans chauffage dans le froid nocturne du sud bolivien, ça a de toute façon paru assez long. Je crois que c'était ma pire nuit du voyage! On avait pourtant quelques pulls et une couverture par personne mais, rien à faire, on se les gelait. Enfin bon, on finit par arriver à Uyuni. Ou plutôt, le chauffeur nous dépose à 7h du matin, dans ce froid polaire, à au moins 2 km de la ville pour cause de blocus, bloqueo (nouveau mot de vocabulaire que je ne suis pas prête d'oublier, il parait qu'il faut contextualiser le savoir pour le retenir...). On n'a jamais très bien percé le mystère de ce blocus mais ce qu'on a compris c'est qu'il y avait un projet de construction de terminal de bus, que les gens étaient pas contents et, pour cette raison, bloquaient (plus ou moins pacifiquement) ou entravaient les entrées dans la ville (et les sorties...). C'est donc à pied, avec nos sacs et un refroidissement certain que nous nous dirigeons vers Uyuni. Très peu de taxis passent mais, finalement, après quelques minutes de marche pénible, nous nous décidons à en prendre un. On arrive dans "le centre", encore très calme à cette heure matinale, il y a juste quelques personnes qui déjeunent et nous les rejoignons. Moment difficile, tout est fermé, il fait froid, on a mal dormi...Et là, une dame en voiture nous propose d'aller à son agence pour programmer la journée dans les déserts de sel. N'ayant pas beaucoup d'autres alternatives (si ce n'est qu'attendre), nous décidons donc de la suivre. Après quelques négociations, on décide de faire le tour avec ce groupe. On se retrouve donc avec un couple d'Argentins et une famille bolivienne (le père, le fils et la grand-mère), tous très aimables! On nous propose gentiment de prendre une douche chaude (parce que, non, ça ne va pas de soi), si on veut, dans un hôtel à côté. J'ai été jusqu'à enlever mon pull mais je me suis arrêtée là : le froid glacial de la pièce a changé mon seuil de tolérance à la saleté (dans une certaine mesure, bien évidemment, ne vous inquiétez pas).

Bref, nous voilà à bord de notre fameux "4 fois 4" pour aller visiter ce grand et beau désert. Premier arrêt dans le cimetière de trains, assez impressionnant et sympa pour faire des photos! Après, on a fait un arrêt, je sais plus trop pourquoi mais il y avait un musée et plein de drapeaux, dont la Belgique ! De là, on a été jusqu'à l' "île des cactus" (qui n'était pas vraiment une "île" à proprement parler bien sûr). C'était sympa mais...notre guide nous dit qu'on a 1h30 pour visiter, faire un tour dans l'île : "Boooh, on commencerait bien par faire le tour, non?" Notre capacité d'estimation en a pris un coup...l'île était un peu plus grande que ce qu'on pensait :) Ce qui devait nous prendre 15 minutes nous a pris plus d'1heure et on est arrivées tout juste pour reprendre la voiture! Au moins, en faisant le tour, on avait enfin l'impression d'être dans un désert et un peu "seules au monde" :) Parce que si le désert d'Uyuni est si beau, il attire beaucoup de touristes comme nous!

Ah oui avant ça, on a mangé tous ensemble, c'était sympa. Ca parlait produits locaux et exportations. Alors que je m'apprêtais à louer le délicieux, chocolat belge, on me demande "et vous produisez quoi comme produits premiers?" "euh...des frites?" :) Et puis j'ai parlé des fraises aussi! Celles que j'ai mangées ici étaient décevantes mais peut-être que je n'ai pas eu de chance. Ca me rappelle une discussion qu'on a eue avec le couple argentin. Ils étaient fiers de leur système d'éducation et de santé et étaient étonné que, nous aussi, avions une aide de l'Etat pour ces sujets-là. Et moi, j'étais étonnée de leur étonnement. Ce qui est en fait assez ethno/euro/ego-centrique, au final, comme si ça allait de soi que "nous Européens évolués et développés" avions ce système-là. Enfin bref.

On a continué notre petite ballade sympathique, fait quelques photos "clichés" (comme vous le constatez) et on a même pu profiter du coucher de soleil.

Retour à Uyuni où nous apprenons que les bus ne quitteront pas la ville ce soir. Nous avions prévu d'aller à Potosi où il était possible de visiter une mine "en activité". Bon...un peu dépitée, on va se trouver un hôtel. Qu'est-ce qui se passe ? Combien de temps ça va durer ? On pourra partir demain ? Qu'est-ce qu'on fait ? C'est les aléas de la vie! Du coup, pour se remonter le moral, on a du faire appel, comme d'habitude, à un réconfort alimentaire. Il y avait une rue avec un tas de pizzeria/restaurant mexicains. Je ne sais plus si c'est ce soir là mais on a eu une petite déception quand même (soupe en sachet et pizza surgelée...).

On va boire un verre dans un café assez inoubliable mais ça, je vous en reparle plus tard. Puis on se pose à l'hôtel où je profite de l'ordinateur pour socialiser un peu à travers le cyberespace. On était donc là, dans cette cafétéria de cet hôtel calme quand un Indien d'Inde (c'est Yara qui m'a dit de préciser) nous a fait une petite leçon de philosophie. En fait, il faisait un tour du monde en voiture pour une association (je crois? je me souviens plus trop en fait). On a un peu parlé avec lui (bon, surtout Yara, j'ai toujours du mal avec le "switch" en anglais) et puis il nous a dit que les petits imprévus faisaient partie du voyage. Il a ajouté une phrase, mieux dite mais, en gros, l'idée c'était : "Y a les plans que tu fais et les plans que la Nature a fait pour toi, et il faut apprendre à faire avec".

Le lendemain, je me lève à 8h pour aller demander à la dame de l'hôtel si des bus partent. Réponse négative...je retourne me coucher. Un peu plus tard dans la matinée, des Roumains vivant à Chicago nous informent de la situation du blocus. Ils nous ont expliqué ce qu'il se passait mais j'ai pas trop compris, toujours ce problème de terminal de bus, et puis des problèmes politiques à plus haute échelle dans le pays, je crois. En tout cas, eux, ils nous ont fait un peu peur! Je crois que jusque là on n'était pas tellement inquiètes mais eux...Ils nous ont dit que les "rebelles" étaient devenus violents, avec des jets de pierre et des coups de feu pour empêcher les gens de passer la "frontière" de la ville. Y a plus agréable comme nouvelle pour se réveiller dans le grand froid d'Uyuni ! C'était un fils (d'une quarantaine d'années je crois) et sa maman. Nous voyant inquiètes, elle nous dit : "Don't worry, I'm sure nothing will happen to you because you're young and nice". C'était trop mignon mais là on s'est regardées en mode : "mmmmouais", il faut dire que le karma nous avait un peu abandonnées ces derniers jours.

Oooooook. Du coup, on fait nos sacs et on va dans le centre de la ville. On décide de tester les trains qui, se dit-on, auront peut-être plus de chances de partir. On va à la gare, remplie (on comprend qu'il faut prendre un ticket). Et je dois dire que l'atmosphère de la journée était un peu spéciale mais pas tant désagréable : un tas de voyageurs, comme nous, avec leurs sacs à dos, errants dans l'incertitude d'un départ "en attente"...et ça se reflétait bien dans l'ambiance de cette gare. Là, on rencontre un français (dont le nom m'échappe) qui avait fait un échange en Equateur. Il était sympa, on discute un peu. Je pense que lui aussi m'a sorti le fameux : "T'es Belge? ah c'est drôle, t'as pas trop l'accent!". Grrrr ces Frenchies ont un sacré stéréotype de nous mes amis mais en tant qu'ambassadrice de mon cher et tendre pays, je travaille de tout mon coeur à changer ces préjugés :). On finit par avoir un ticket pour le soir-même à 1h du matin. On va faire quelques courses et on rencontre 2 Boliviens qui nous proposent d'aller boire un verre le soir-même...comme il faudra bien tuer le temps jusqu'au train et qu'ils n'ont pas l'air de psychopathes dangereux, on accepte. Le reste de la journée, je ne me souviens plus trop de ce qu'on a fait. Errance, shopping et gourmandise, me semble-t-il. Ah oui, on a pris quelques vidéos pendant le voyage, j'essayerai d'en poster une prochainement !

Le soir venu, on va donc boire un verre dans un bar nommé "Extrême fun pub", conseillé par le Routard. Ils proposent plusieurs "défis" pour avoir des verres gratuits mais, comment dire, notre intégrité physique et morale était trop importante pour céder à ces sollicitations douteuses...Bon, cessons les euphémismes : les personnes qui se faisaient prendre en photo, les fesses à l'air et tatouées (au marqueur) du nom de bar, avaient un verre gratuit (ainsi que le portrait de leur arrière-train affiché sur les murs de l'endroit). On s'est abstenues. Mais la soirée était sympa malgré le froid qu'il faisait! Il n'y avait pas beaucoup de monde mais...devinez d'où venaient les gens de la table d'à côté? Bon, il y avait un Français mais ça, on s'en fout un peu (sorry mais ils sont tellement au Pérou que ça devient banal). Non, mieux, beaucoup mieux : 2 anciens étudiants de Louvain-la-Neuve et ex-kapistes de surcroit ! J'avais mon pull de cours de l'Half-time (<3 <3) et ils ont fait le rapprochement. Ca m'a fait trop plaisir de voir des compatriotes :) Ils venaient de finir leurs études (l'un d'eux avait fait du bénévolat dans les bidonvilles de Lima) et voyageaient un peu! Le mieux de tout, c'est que, comme il n'y avait pas beaucoup de monde et que les serveurs étaient sympa, on pouvait choisir la musique. Sans surprise, on a opté pour Stromae et "Louvaiiiiin-la-Neuve, tu n'dors jamais la nuiiiiit". A trois, ça fait pas pareil qu'à la petite casa, c'est sûr ("je crois que j'ai jamais chanté cette chanson avec si peu de gens!"), mais à 10 000km de Louvain, ça compense. C'était trop fou, trop inattendu, trop chouette :)

Malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin et il nous faut partir pour prendre le train. Quand on arrive à la gare (remplie à craquer), on comprend qu'il faudra encore attendre quelques temps. Je crois que le train est arrivé à 2h ou 3h? Enfin, assez tard. Et j'avais oublié mais on a appris pendant la journée que les trains avaient été bloqués aussi. Et de nouveau, on avait reçu des échos de touristes selon lesquels c'était devenu violent. On avait notamment revu notre ami français de la gare qui avait essayé de passer en voiture avec d'autres personnes. Je crois qu'ils ont dit qu'on leur avait tiré dessus (Yara tu confirmes?). Léger stress mais donc finalement ça s'est arrangé, le train partait bien. On avait opté pour un train "confort" (vu que c'était quand même pour toute la nuit) avec chauffage et couvertures. Par contre, je me souviens que le "contrôleur" était passé pour fermer les "volets" du train (pas comme des rideaux, quelque chose d'assez solide) en disant "au cas où il y a des problèmes avec les rebelles". Ah ben c'est cool, merci, bonne nuit aussi ! J'étais donc un peu préoccupée au début mais tout s'est bien passé.

Je vais m'arrêter là pour 2 raisons :

- Il est 23h42, je suis fatiguée et ça fait longtemps que je dois poster cet article donc le plus tôt sera le mieux (oui je sais ça fait 3).

- Yara m'a gentiment soufflé de l'inviter en guest star pour terminer l'article. Le blog est à vous !

Bonnes nouvelles du jour :

- J'ai fini mes examens ! J'en ai (normalement, je touche du bois) terminé avec la PUCP, ses lectures, ses contrôles, ses livres, ses présentations,... crevée mais soulagée :)

- Maman arrive demain à Lima !

- Pour mon terrain anthropologique, après quelques rebondissements, je pars normalement à La Raya (centre d'expérimentation zoologique de l'université de Cuzco) fin du mois. C'est, je crois, dans un trou paumé dans les montagnes, à 200km de Cuzco. Je me sens un peu triste ces jours-ci, la maison se vide, les gens partent/vont partir bientôt, les cours sont terminés, c'est la fin d'une aventure (que je n'ai pas vue passer!)...mais le début d'une autre, bientôt aussi. Il me reste 2 mois ici et je sens déjà que ça sera trop peu. Bien sûr, je serai contente de rentrer en Belgique mais j'appréhende un peu ce "retour à la vie réelle". Enfin...c'est une autre histoire.

ATTENTION : YARA en guest star elle-même vous conte la fin de nos péripéties boliviennes ci-dessous. Te hecho de menos!

Avec (beaucoup de) retard... Le voici, le voilà, le tant attendu fin d'article sur le retour de Bolivie au Pérou.. ou pas !

Alors avant de parler de ce retour pas très très calme à notre pas bien plus calme capitale péruvienne, je dois absolument souligner que je n'aurais pu avoir meilleur camarade de voyage que Doudou ! Notre Doudou nationale (internationale maintenant), fan invertérée de Friends, pâtes à la courgette (oui seulement une !), courses dans les parcs (rétablissons dès maintenant la vérité, Douds est une sportive en herbe, cachée et refoulée depuis tellement d'années, elle s'est révélée au cours des 5 derniers mois, j'ai su voir la Serena Williams qui sommeillé en toi Doudou !), est la partenaire parfaite pour faire ce voyage. Sa bonne humeur, sa joie de vivre et son humour à toute épreuve à été plus que nécessaires dans cette aventure qui a trop souvent joué avec nos nerfs et testé notre résistance et persévérance. Donc voilà après une bien trop courte ôde faite à mon idole, Dounia (non, promis, je n'ai pas été forcée ! ;)), voilà le comment s'est passé le retour.

Bien contentes d'avoir pu atteindre, non sans mal, la Paz malgré le blocus, nous nous reposons dans le même hôtel qu'à l'aller pour repartir le lendemain. Nous allons donc à la station de bus et décidons de changer de compagnie de bus afin de nous éviter les nombreux désagréments rencontrés à l'aller. Nous tombons alors sur une compagnie qui ô bonheur, vient nous récupérer en bus directement à notre hôtel le matin. Et là soulagement collectif, on va pouvoir passer une bonne nuit. Nous avons donc rdv à 8h le lendemain matin pour être récupérées par le bus. Donc nous sommes prêtes à 7h50 de peur de rater le bus nous descendons à l'entrée. Nous attendons. 8h10. Bon il devait récupérer d'autres passagers après tout. 8h20. Bon et puis on est en Amérique Latine, il a peut être dû attendre chaque passager un peu plus longtemps que prévu. 8h35. Bon il y a probablement un embouteillage de fou dans les rues de La Paz, laissons lui le bénéfice du doute. 8h45. Bon il y a peut être eu une alerte à la bombe, un gros coup d'état, un tremblement de terre ultra localisé. Bref désespérées et à court d'excuses, nous décidons d'aller à la station de bus, après avoir préalablement appelé la compagnie de bus à plusieurs reprise. On saute dans le taxi. Hop, dans la station de bus, personne à l'accueil. Panique totale ! Qu'est-ce qu'on fait ? Où va t-on ? Donc on choisi alors de retourner à l'hôtel (por si acaso). Re-panique, y a personne ! Douds et moi perdons patience, le gérant de l'hôtel nous dit que le bus est passé peu de temps avant que nous arrivions et qu'il leur avait dit que nous étions au terminal de bus. Donc rebelote ! Nous retournons au terminal avec peu d'espoir tout de même. Mais Doudou plus déterminée que jamais et motivée à rentrer dans notre ville d'accueil, on tente et on "court" (non en vrai il est casiment impossible de courir à La Paz et ses 3600m d'altitude), on marche très vite quoi ! Arrivées là bas, toujours personne à l'accueil de la compagnie de bus. Mais une dame nous interpelle, enfin elle crie "Yara" dans le terminal. Dounia répond. D'ailleurs le petit jeu de Doudou, on se fait passer chacune pour l'autre a bien fait rire la petite Belge !! (ah l'humour belge...) On s'est vaguement demandées comment elle nous avait reconnue mais deux petites "gringas" prises de panique et avec des sac-à-dos plus lourd que la petite Jaina (cf colloc brésilienne), finalement, ça a ses "avantages". Bon la dame nous explique de manière plus ou moins convaincante qu'ils nous ont appelées car ils s'étaient trompés dans l'heure de départ qui était initialement prévue à 9h et non pas pour 8h. Epuisées et ne voulant pas du tout bâtailler, on entre dans son jeu, très compréhensives, on attend qu'une chose : rentrer ! Donc le bus a du retard, on doit attendre jusque 9h30 au terminal. D'autres passagers nous rejoignent (un couple argentin et la soeur de la femme, tous trois musiciens et une jeune femme et son petit bébé). Finalement on nous dit d'attendre dehors tous ensemble avec "l'organisatrice" qui été très sympathique donc notre impatience s'est un peu envolée grâce à cette dame (qui arrondi beaucoup les angles pour nous raconter des histoires mais on en tenait pas rigueur) Donc bon on a fini par attendre jusque 10h30 que le bus arrive. Dans le petit bus tout se passe bien. J'étais malade depuis le matin (à cause de l'altitude ?) donc je m'endors, Doudou somnole avec "Wannabe" des Spice Girl résonnant dans les oreilles. On arrive jusque la frontière où l'on refait les papiers d'entrée pour le Pérou. On tombe sur nos amies de la Casa Pando qui prenne le même bus que nous. A la frontière il y a des festivités, on ne sait pas trop à quoi ça correspond mais c'est assez typique, chaque étudiant (de 6 à 17 ans je dirais) défile avec l'ensemble de sa classe, avec des costumes traditionnel. C'ets très joli à voir. Ca fait un peu défilé militaire mais en plus gai et coloré ! On passe la frontière, on change de bus, ensuite problème de bus (mais je crois que c'est compris dans le forfait, la panne est juste inévitable). Donc on change de bus. On nous donne a mangé, c'est Douds et moi (surtout) qui sommes contentes !! On arrive à Lima. Hop taxi ! Trop épuisées, fatiguées, lessivées. On a qu'une seule hâte : retrouver notre petite chambre, devenue par la suite bien plus accueillante et chaleureuse que quand on l'avait laissé ! Et prendre une douche !! On entre, on retrouve Pantera, notre chien protecteur adoré mais toujours pas bien en point à cause de son accident. On retrouve notre chère maison, grande, belle, joyeuse, chaleureuse, accueillante, qui sent bon le... ah non c'est KusiWasi, y a du caca de chien devant la porte de ma chambre !

P.S : merci Doudou de m'avoir invitée en guest dans ton super blog, lu aux quatre coins du monde par des milliers de fans et autres adeptes, enfin ton blog quoi. Tu me manques beaucoup, prêtez la moi de temps en temps chers Belges, accueillez là à l'aéroport comme une reine ! Tu me manques Douds, JOYEUX ANNIVERSAIRE !! (Oui j'ai tardé à écrire ce long récit.. mais je voulais être à la hauteur de ton blog Dounia !)
P.P.S : Je cède mes droits d'auteurs, tu peux apporter toutes les modifications (suppressions aussi car c'est bien long et fastidieux à lire) Douds !
 
-> Je tiens à dire qu'à part quelques distractions orthographiques, je n'ai pas modifié cette charmante intervention sur mon blog. Gracias guapa !
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A
Que de péripéties et de suspens!<br /> Et comme le monde est très petit, encore plus de nos jours..n'est-il pas?<br /> Mes bisous pour toi accompagnent MCD<br /> Et que tes 1ères grandes aventures se poursuivent<br /> re-bisous
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